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Jean-Luc Mélenchon, désigné par Bruno Retailleau comme « l’ingénieur en chef de la violence », contrôle-t-il encore vraiment ses compagnons de route racialistes ?

Né sur les messageries cryptées et amplifié par les réseaux sociaux, le mouvement « Bloquons Tout » appelle à paralyser le pays le 10 septembre, en réaction au plan d’économies présenté par François Bayrou. Derrière un slogan simple, une nébuleuse de collectifs s’organise, portée par des milliers de jeunes militants et largement ancrée à gauche. Entre revendications multiples, radicalité assumée et exclusions internes, le mouvement cherche encore sa forme.

Le discours du leader de La France Insoumise lors de leur université d'été (AMFIS) 2025 montre une proximité idéologique frappante entre la logique de M. Mélenchon et celle du président Poutine sur la question ukrainienne.

Le leader insoumis laisse planer l’idée d’un défaut sur la dette, dont seuls les « investisseurs étrangers paieraient l’addition ». C’est révolutionnaire mais il y a un précédent.

Mélenchon relance la procédure de destitution contre Emmanuel Macron et appelle à maintenir la mobilisation du 10 septembre

En recourant à l’article 49.1 et en sollicitant un vote de confiance le 8 septembre, François Bayrou tente de reprendre l’initiative. Mais ce geste traduit surtout la fragilité d’un gouvernement sans majorité solide.

La dette française reste attractive, mais surtout par défaut : dans une économie atone, les investisseurs se réfugient dans l’obligataire. Derrière ce paradoxe, un risque systémique se profile si la hausse des taux perdure.

Entre héritage social et quête de nouveaux récits, la gauche française s’interroge sur son unité. Aux universités d’été, de LFI au PS en passant par les Verts, tensions idéologiques et fractures identitaires dominent les débats.

Exclu pour antisémitisme, l’ex-leader du PS britannique ouvre sa propre petite boutique aux horreurs avec la double ambition de « plumer la volaille socialiste » aux élections et d’accélérer la palestinisation du débat.

De Corinthe au plateau télé, il n’y a qu’un tweet : Jean-Luc Mélenchon a brandi la Première lettre de saint Paul pour prouver la « soumission » des femmes. L’historien Jean-Marie Salamito, professeur à la Sorbonne, démonte la légende en restituant le texte (1 Co 11, 2-16) dans son décor.

Avec ce mouvement politique, l'ancien député LFI souhaite peser à gauche dans le cadre de la campagne pour la prochaine élection présidentielle.

Palestine et abrogation de la réforme des retraites : l’ex-baron RPR et promoteur du licenciement express des moins de 26 ans s’attaque à la présidentielle par la face Mélenchon.

À moins d’un an des élections municipales, les tractations se multiplient en coulisses, notamment à gauche. Le Parti socialiste d’Olivier Faure semble prêt à renouer avec ses anciens alliés dans certaines communes, quitte à fermer les yeux sur des compromis idéologiques. La campagne de 2026 pourrait être marquée par le clientélisme et des pressions liées à l’entrisme islamiste.

Interpellé par Jérôme Guedj, l’influenceur Fi en chef met les internautes au défi de le prendre en défaut d’antisémitisme. Les réponses fusent et satureraient un disque dur.

Le coordinateur national de La France insoumise était l’invité ce dimanche 15 juin de BFMTV. Il a notamment été interrogé sur la polémique liée aux propos de Jérôme Guedj.

Le chef insoumis avait inventé l’expression pour François Hollande. On le croyait méprisant, mais ça devait être un compliment.

Olivier Faure a été réélu pour un nouveau mandat à la tête du PS. La parenthèse de la social-démocratie gestionnaire s’achève à mesure que le Parti socialiste cède, par ses alliances, à la radicalité, selon le philosophe Yves Roucaute.

La Fi renvoyait déjà tous les musulmans à l’islamisme, elle leur demande désormais d’endosser barbares et pillards. Ils vont finir par se fâcher.

S’inquiétant de la menace chinoise, Macron compare Taiwan à l’Ukraine. « Mais Taiwan, c’est la Chine ! », le rembarre le leader insoumis en écho de Xi Jinping.

Le voilement des petites filles est probablement impossible à interdire pour des raisons pratiques, mais comment en arrive-t-on à en faire une « liberté » ?